La haute sensibilité concerne presque un tiers des humains de cette planète, que l’on catégorise alors le plus souvent comme « hypersensibles. » Dommage que cette première traduction française à connotation péjorative et « pathologique », du terme anglophone « Highly Sensitive Person », ait rapidement supplanté les autres sémantiques. Les Émotifs Anonymes, que je viens de revoir pour la troisième ou quatrième fois, m’embarque à chaque fois avec beaucoup de plaisir et d’émotions dans l’univers précieux de la sensibilité extrême.